Vous l'attendez toutes depuis 2 semaines. Voici ENFIN notre review. Jeudi 13 septembre 2007:Tandis que Didi rejoint Paris depuis la Belgique, VG et Alicia se laissent transporter par le TGV Lyria Genève-Paris de 7h50 et admirent le paysage tantôt montagneux tantôt plat qui défilent sous leurs yeux.
Regroupement des troupes prévu aux alentours de 12h30 à notre petit hôtel 2* situé en plein centre de Paris. Jusque là, aucune embuche au programme; tout roule.
VG et Alicia arrivent à l’hôtel et trouvent Didi installée dans le hall d’entrée. Retrouvailles sous le regard un peu voyeur du réceptionniste et papotages divers (comment s’est passé le voyage, Didi qui se fait draguer dans le métro,…).
A 13h00, nous pouvons enfin prendre possession de notre chambre. Mais avant de découvrir notre petit havre de paix, nous faisons tout d’abord intimement connaissance avec l’ascenseur.
Imaginez une petite armoire à balai d’une largeur de 1m sur une profondeur de 1m max, et vous avez notre bijou d’ascenseur. Nul n’est besoin de préciser que nous ne pouvons monter qu’à 2 en même temps au maximum, et même là, du moment où l’on a des sacs, l’aventure devient très périlleuse … mais surtout très intime… si intime qu’on s’imagine tout à fait dans cet espace restreint au coté d’un charmant jeune homme dont nous tairons le nom.
Mais l’aventure de s’arrête pas là. Il nous reste encore un étage à faire a pied. Oui, nous sommes au dernier étage. Et une fois le sommet atteint, nous avons la bonne surprise de constater que nous avons une chambre qui donne sous les toits
La chambre est spacieuse (1 grand lit pour VG et Alicia, et un séparé pour Didi), bien que le mobilier soit un peu vétuste (vive la chaise à 3 pieds).
Mais ce qui vaut tout l’or du monde dans notre chambre, c’est la salle de bain, ou plutôt… la cabine. Douche, mini lavabo et WC se succèdent de gauche à droite. Et quand on s’assied sur les WC, on arrive tout juste à fermer la porte. A croire que la cabine de douche/WC vient du même fournisseur que l’ascenseur.
L’utilisation de la douche ou des WC (quoi que du mini-lavabo aussi, tout bien pensé) est des plus épiques et laborieux. Mais c’est pas si horrible que ca. Ca donne un peu l’impression qu’on est au camping. Et surtout, c’est propre. Donc c’est tout ce qui compte.
Nous nous rafraichissons et nous changeons. Vers 14h00, nous sommes fin prêtes et quittons enfin notre hôtel pour partir à l’aventure. Il fait un temps magnifique, et surtout, il fait chaud. Notre petite promenade de santé dans Paris se révèle vite plus compliquée que prévue. D’une part, les TH semblent n’être retournés dans aucun des hôtels dans lesquels ils avaient séjourné auparavant. Mais surtout, il fait chaud, très chaud. Nous suons, et nos pieds nous rappellent gentiment que nous n’avons pas les chaussures adaptées pour ce genre de marathon. Après une petite halte express pour parer au problème (merci Monoprix, hein Didi !), nous décidons de retourner à notre hôtel et de réfléchir stratégiquement. Il est environ 16h30.
Personne n’est introuvable et Alicia et VG ont décidées de ne pas lâcher le morceau. Un clin d'oeil échangé entre VG et Alicia et Alicia sort sa boite à malice.
18h00 : Alicia pense les avoir trouvés. Mais le seul moyen de s’en assurer, c’est d’y aller et de vérifier sur place.
Rebelote pour une séance petite toilette-maquillage-habillage. Après notre marathon de l’après-midi, nul n’est besoin de dire que ni nous ni notre maquillage n’étaient plus très frais…
18h30 : Et c’est reparti. Avons-nous misé sur le cheval gagnant? Nous sommes bien vite rassurées lorsque nous voyons de loin des fans de l’autre côté du trottoir. Nous entrons dans l’hôtel.
Nous avons à peine le temps d'entrer que nous avons failli entrer en collision avec les TH qui sortaient des ascenseurs. Nous nous installons sur les somptueux canapés de ce non moins somptueux palace que Saki nous passe devant et s’arrête juste à la table à coté de la notre. Il commence à parler au chauffeur, lorsque soudain, il nous remarque et s’arrête net de parler. Il a l’air très surpris (bah oui, ni Alicia, ni VG ne lui avait dit à Verona la semaine d’avant, qu’elles viendraient à Paris) mais il est aussi très occupé. S’ensuit des allées et venues de VSD par-ci par-là, ce qui annonce le programme que nous avions en tête.
Il est environ 19h00 lorsque les TH nous passent devant pour la deuxième fois et ils remontent.
Les journalistes arrivent les uns après les autres. Ils sont dirigés dans une salle de conférence qui se trouve être à quelques pas de notre table. Nous sommes en pole position pour tout voir.
Les TH entrent finalement dans la salle de conférence vers 19h45. L’interview durera 30 minutes, montre en main. A 20h15, tout le monde ressort. Les TH partent de l’autre coté, apparemment pour une séance de photo (flashes à profusion).
Vers 21h15, c’est à nouveau le branlement de combat pour les VSD dans le hall d’entrée : en effet, les TH s’apprêtent à sortir pour donner des autographes. Une camera les suit. Nous hésitons à les suivre, mais finalement VG et Didi vont voir dehors et se tape même une petite causette avec une journaliste qui regarde la scène à côté d'elles.
Ils ne tardent pas à rentrer à nouveau, et cette fois partent s’installer au fond du bar pour y prendre leur diner. Ils mangent, discutent. Ils sont d’un calme et d’un sérieux, par rapport à nous qui nous tapons de ces fous rires dans notre coin. Heureusement nous sommes suffisamment loin d’eux pour qu’ils ne nous entendent pas … quoique … on peut se demander parfois si Bill et Tom n’essayaient pas de nous faire concurrence avec leur rire gras.
Nous restons à siroter nos Schweps et Ginger Ale jusqu'à ce qu’ils aient tous quittés le bar. Il est environ 23h15. Nous n’avons pratiquement rien mangé de la journée et notre estomac commence à nous le faire sentir. Nous quittons donc l’hôtel et nous rendons dans un macdo, dans le quartier. Et là, surprise… y’a un VSD à la caisse…
Le ventre plein, nous regagnons notre hôtel. Apres une bataille sanguinaire avec les rideaux et sa tringle, nous rejoignons Morphée et ses crustacés (vive le private joke… hehe).
Vendredi 14 septembre :Debout vers 8h30, le temps que chacune passe sous la douche et se prépare.
Comme l’enregistrement du Grand Journal débute à 12h30, nous soupçonnons les TH de quitter l’hôtel vers 11h30. Nous y arrivons donc vers 11h, mais devrons attendre environ 13h15 avant de voir leur petits minois.
De là, nous partons pour Canal . On y arrive en 45 minutes (petit crochet par une superette pour acheter quelques victuailles), donc évidemment les TH sont arrivés à Canal bien avant nous.
Vers 15h35, le van des TH quitte les studios, mais tout ce que nous verrons est un saki jouant le co-pilote dans le van. On espérait qu’ils s’arrêteraient rapidement. Mais non, dommage ! Ils étaient sûrement à nouveau en retard. Ils devaient être de retour à leur hôtel à 16h15 pour une interview.
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Sachant que de toute manière nous ne pourrions pas être de retour à leur hôtel avant eux, nous avons préféré retourner au notre et nous reposer un peu avant d’aller à NRJ.
Nous avons rejoint les studios NRJ vers 19h45. Mon Dieu la foule !! Une vraie fourmilière. Avec d’un coté un attroupement de filles en délire, et sur les cotés en retrait, les papas et mamans qui attendaient bien patiemment en gardant un œil sur leur progéniture. Nous étions un peu entre les deux
La fourmilière s’est transformée en volcan lorsque les TH sont sortis sur le parvis. Une vraie folie !!! Seules les filles qui étaient dans les premiers rangs ont bien pu les voir. Didi et VG observaient la scène du plus près tandis qu’Alicia gardait ses distances de l’autre coté du trottoir.
Imaginant que l’interview n’allait pas tarder à se terminer, nous reprenons la route de leur hôtel.
Nous sommes donc de retour à leur hôtel vers 22h30. Nous assistons au bonheur des supporters de l’équipe de l’Afrique du Sud de Rugby et au désespoir des Anglais qui se sont faits rétamés 36 à 0. Cela met de l’ambiance dans l'hôtel.
Les TH sont de retour vers 23h45. Sécurité maximale. Les 4 VSD les entourent même à l’intérieur de l’hôtel (ce qui n’était pas le cas le soir d’avant).
Une femme d'un certain âge pas très nette (un peu pompette, on pense) a essayé de les aborder pour qu’ils signent des autographes pour 3 jeunes fans. Comme elle les a interpellés quand ils sont arrivés !!!. Autant dire que ca a été, zou, les 4 TH d’un coup dans l’ascenseur avec les VSD qui cachait l’entrée de l’ascenseur. Merci Madame la Pompette.
Grace à vous, on a vu qu’une touffe qui dépassait mais nous nous avons votre voix mélodieuse sur une bande son, nous espérons que vous aimerez cet appel à la gloire.
https://www.youtube.com/watch?v=deStyERljo4
- Citation :
- Vous n'avez que le son, mais voici l'explication:
Pompette les voit, les interpelle, les gardes du corps laissent entrer Saki et les 4 TH, l'ascenceur se referme, laissant les autres gardes du corps devant les ascenceurs et la femme sur le côté avec son dernier mot que je vous laisse découvrir.
La vieille ne s’est pas arrêtée là. Probablement vexée qu’ils soient montés direct sans passer par la case autographes, elle a pris les escaliers et elle est montée à leur étage !! 2 types de la sécurité, qui ont réalisé ce qui se passait, sont allés la récupérer et sont redescendus avec elle 5 minutes plus tard.
Nous, on était toujours peinard, dans notre coin.
Nous n’avons rien revu des TH ce vendredi soir. Ils ont probablement mange macdo dans leurs chambres (vous comprendrez l'allusion plus tard).
Par contre, nous avons eu une discussion bien sympathique avec Saki. Ce type est trop adorable. On lui a parlé du THA4
(il s'agit d'une surprise que nous preparons pour le concert du 14 octobre a Bruxelles). Il est donc au courant de la surprise qui se prépare
… si c’est pas formidable, ça
Nous avons quitté l’hôtel vers 1h00, et avons fait un crochet par le mcdo. Et devinez qui on a croisé ? Un VSD !!
Non, on ne l’avait pas suivi !!
Samedi 15 septembre :13h30 : Fidèles à eux-mêmes, ils sont en retard et quittent l’hôtel avec 30 minutes de retard. Donc pas le temps de s’arrêter, ils tracent direct dans le van. Les fans courent après le van, d’autres en voiture frisent l’accident. C’est dans le chaos et les klaxons que nous les quittons.
Nous avons toute l’après-midi pour nous. Nous allons donc manger un vrai repas (marre du macdo !!), faisons un peu de shopping a la FNAC, et enfin profitons de nos derniers instant ensemble autour d’un dernier verre.
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VG
. DIDI
ET ALICIA